Ludivine et Fabien
Sur la PLage De seteCe jour là, la houle ondulait encore de la veille,
d’ une tempête de printemps. à faire perdre la tète des fleurs des sables.
Il était presque Midi, le soleil irradiait
un ciel de nuages transparents, comme à travers le voile d’ une mariée,
et cette lumière étrange et diffuse, une sorte de brume orangée,
se confondait dans le vert pastel de la Mer,
d’ou surgissaient fougueusement des vagues sans fin d’écume blanche.
C’est une plage où même à ces moments furieux, » dit Georges, »
Neptune, ne se prends jamais trop au sérieux..
Mais les Amoureux ne restent pas longtemps seuls au monde !
Sur cette plage,
ils savaient, qu’ils étaient déjà trois…
Et Aux familles et amis,
ce jour sur le sable nacré,